Comment le changement climatique Affecte-t-il le monde ?
Le changement climatique est aussi synonyme d’augmentation des catastrophes naturelles. Fini les inondations, les cyclones ou les incendies… Cela a un impact sur les activités économiques. Tout ce qui se trouve dans les zones à risques (zones côtières, arides ou sinistrées) est potentiellement affecté.
Une augmentation des gaz à effet de serre résultant des activités humaines piège une partie de ce rayonnement, ce qui augmente les températures de surface jusqu’à ce qu’un nouvel équilibre soit trouvé. C’est la principale cause du réchauffement climatique observé ces dernières décennies.
Le changement climatique affectera la qualité de l’eau dans les régions qui connaissent déjà des pénuries d’eau. Dans les pays en développement, l’agriculture absorbe près de 95 % de l’eau.
Les effets sur l’environnement sont multiples, importants et de plus en plus fréquents : sécheresses, fonte des glaciers et de la banquise, montée du niveau des mers, tempêtes tropicales. Ils affectent l’ensemble de la population mondiale et la biodiversité planétaire.
Comment le changement climatique affecte la population ?
Le niveau de la mer monte. Augmentation de la température de l’océan. Augmentation des précipitations (fortes pluies et grêle) augmentation des cyclones tropicaux violents.
4- Le réchauffement climatique accroît les inégalités Une faible croissance signifie aussi une baisse des revenus, notamment pour les premiers maillons des chaînes de production (petits agriculteurs et ouvriers). Cela peut également avoir un effet en termes de capacité d’adaptation.
Perturbation des écosystèmes, acidification des océans, suppression d’espèces ou au contraire propagation d’autres… Le réchauffement climatique perturbe et menace le monde du vivant.
Comment le changement climatique affecte la société ?
Les sécheresses, les incendies et les inondations récurrents affectent gravement les moyens de subsistance des familles les plus vulnérables. D’ici 2030, jusqu’à 100 millions de personnes pourraient basculer dans l’extrême pauvreté à cause du changement climatique.
Le changement climatique tend à accentuer les inégalités entre les pays, et une étude suggère que le rapport entre le dernier et le premier décile serait inférieur de 25 % s’il n’y avait pas eu de changement climatique (Diffenbaugh et Burke, 2019).
Ce refroidissement a des conséquences sur les sociétés. Si les étés sont froids et très humides, les récoltes sont maigres, ce qui entraîne une hausse du prix des céréales et une crise alimentaire. En 1375, une famine s’abat sur l’Europe à cause du froid et de la pluie.
Comment le réchauffement climatique va bouleverser le transport aérien ?
Les oxydes d’azote (NOx) émis par les réacteurs à haute altitude augmentent la concentration d’ozone (O3) et de méthane (CH4), qui sont d’autres gaz à effet de serre. Si l’on considère l’ensemble de ces gaz, le transport aérien est à l’origine de 4,9 % du réchauffement climatique.
Le réchauffement des océans provoque l’évaporation d’une plus grande quantité d’eau. Parce que la vapeur d’eau est un gaz à effet de serre, elle contribue à l’accélération du réchauffement climatique… et donc à l’évaporation de l’eau. La hausse de la température de l’océan le rend également moins efficace pour capter le carbone.
Selon différents scénarios d’émissions, la température moyenne mondiale devrait augmenter d’environ 0,2°C par décennie au cours des deux prochaines décennies. Des études antérieures ont prédit un réchauffement de 0,15 à 0,3°C par décennie entre 1990 et 2005.
En raison de la destruction des forêts dans de nombreuses régions du monde. Parce que les plantes et les arbres stockent du carbone, et si on en réduit la quantité, ce carbone est libéré sous forme de gaz carbonique par leur combustion ou décomposition, sans être capté par autant d’arbres qu’ils poussent.
Quel est l’impact du transport aérien sur l’environnement ?
En termes d’émissions de CO2 par passager et par km, l’avion est en tête du classement des transports polluants. Ses émissions sont 45 fois supérieures à celles du TGV, 10 fois supérieures à celles du bus.
En termes d’émissions de CO2 par passager et par km, l’avion se classe parmi les plus pollués, dans des proportions similaires à une voiture particulière. Ses émissions sont environ 45 fois supérieures à celles du TGV, soit 15 fois supérieures pour le train moyen longue distance.
En cause : le kérosène, un mélange d’hydrocarbures issu du raffinage du pétrole, utilisé pour alimenter les turboréacteurs et turbopropulseurs des avions. Selon les différentes phases d’un vol, l’avion brûle plus ou moins de kérosène.